Une masse de travail toujours plus importante, un turnover handicapant doublé d’une culture du reporting oh combien chronophage. Dehors il pleut, et je ne crois pas avoir déjà eu aussi froid à Bangalore, le thermomètre flirtant avec les vingt degrés. Mais il y a les sourires des gens dans les rues. Il y a les odeurs des œillets d’Inde le matin, de paan le soir. Il y a les sons des orchestres et des processions, des temples et des gens dans la rue. Il y a les fleurs partout, et de grandes feuilles de bananiers qui témoignent de la période des fêtes ici. Il y a le chaï du matin, et la dosa qui l’accompagne parfois. Il y a le muezzine le soir, et puis le matin aussi. Le matin il y a la vendeuse de basilic, qui mesure ses décibels avec l’acheteur de papier. Tout cela donne des fourmis à mes doigts lorsque je n’écris pas et donne une énergie folle pour continuer ! PS Vous avez sûrement remarqué le changement d’image en haut du blog; elle est l’œuvre d’un créatif de l’agence ici, j’espère que ça vous plait !!