Ca y est, Sarah et Guillaume sont là. J’ai récupéré nos deux voyageurs hier soir à l’aéroport, par un avion venant de Colombo. Installation rapide à la maison et ouverture d’un sac magique contenant, outre du bon vin, une grande bouteille de Cognac et, bonheur, du Ricard. On s’est installé tranquillement sur la terrasse, autour de ma nouvelle table, et j’ai pu avoir un aperçu de leurs tribulations en Asie Centrale, en Russie, à Samarcade, en Chine, au Vietnam et au Cambodge. Au delà de leur blog, dont les photos nous font voyager à travers ces pays magnifiques, je dois dire que les entendre raconter leur périple, autour d’une bonne bouteille et sous le ciel de la nuit noire bangalori, et bien c’est un bonheur précieux. Aujourd’hui, nous sommes parti en rickshaw à travers la ville, et avons traversé le souk local, dans commercial street, que j’avais déja vu, mais qui, en prenant des chemins de traverses laisse découvrir des petits marchés couverts, ou s’entassent les fruits exotiques, les grappes de fleurs qui finiront sur les temples, et des sacs d’épices qui embaument ces minuscules échoppes. Déjeuner au sommet d’une des tours de la ville, au restaurant l’Ebony, là où j’avais pris mon premier diner en arrivant. Assez étonnant de passer de la foule bigarrée et pousierreuse de commercial street à, quelques minutes plus tard, dans le ciel de Bangalore, à hauteur du vol des busards chasseurs. Encore de belles conversations, et un repas royal, “not too spicy” On pense bien à vous tous.