Réveil ce matin, sous le ventilateur qui brasse l’air chaud indien
Quatre heures de sommeil sous la moustiquaire et la vie bangalorie reprend son cours comme si la sieste des derniers jours n’avait été que rêves déjà évanouis.
Des rêves, j’en ai fait de superbes ces deux semaines passées.
Images de terrasses ensoleillées, d’amis retrouvés, de famille embrassée.
Odeurs de parfums dans les rues, d’explosions gastronomiques et de discussions à bâtons rompus.
L’air pur de Paris, le bonheur certain d’un passage furtif parmi vous tous.
Merci pour tout, merci pour ces diners, ces verres, merci pour vos encouragements et pour votre présence à tous.
Batteries rechargées, je me retrouve assis à ma place, dans cet open space un peu bruyant mais tellement accueillant.
A l’attaque !